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le monde musical d'emeline
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le monde musical d'emeline
8 juin 2014

Detroit fait chanter la Cigale

Vendredi soir, nous avons, mon compagnon et moi, assisté à un concert fleuve de plus de deux heures.

Il fait chaud. Malheureusement, la salle de la Cigale n’est pas climatisée et, au balcon, la chaleur est à la limite du supportable. Le bar a du faire fortune ce soir là. Je n’ai pu tenir le concert que grâce aux verres de Coca dont mon compagnon attentionné a bien voulu m’abreuver.  C’eut été dommage car la vue sur la scène depuis nos places était grandiose.

Première partie : Fat Supper. Batteries, guitare et basse. Des accents de Noir Désir et de country américaine sympathique mais ça manquait de maturité. A réécouter d’ici 2-3 ans.

Après la traditionnelle pause, Détroit est arrivé sur scène. Clavier, batterie, deux guitares et basse.  Détroit  c’est le groupe de Imbert et Cantat, et dès la première note, on les sentait tous heureux d’être là et ça s’est vérifié pendant tout le concert : nous avons eu du mal à les laisser partir et eux à nous quitter. Pour preuve : trois rappels !

Voici la setlist :

  1. Ma muse
  2. Horizon
  3. Des visages des figures
  4. À ton étoile 
  5. Le Creux de ta main
  6. Lazy
  7. Le Fleuve
  8. Lolita nie en bloc 
  9. Ange de désolation
  10. Null & Void

 

Rappel 1 :

  1. Droit dans le soleil
  2. Glimmer in Your Eyes
  3. Sa majesté
  4. Un jour en France 
  5. Fin de siècle
  6. Tostaky

 

Rappel 2 :

  1. Le vent nous portera
  2. Comme elle vient 

Rappel 3 :

Des armes

 

Il y avait pendant tout le concert, au dessus et derrière le groupe, un écran qui diffusait des images en lien avec les chansons, comme des courts-métrages, ainsi que des jeux de projecteurs et de lumières.

Les morceaux de Détroit se sont vite enchainés avec des morceaux de Noir Désir et la salle scandait les paroles à tue-tête. Cantat n’avait même pas besoin de chanter sur A Ton Etoile, Lolita Nie en Bloc, etc… l’ambiance était à la joie, Cantat nous a un peu parlé et a introduit Un Jour en France en nous remettant la chanson dans le contexte récent des élections européennes et en modifiant les paroles en conséquence.

La fin du concert a transcendé la salle : Tostaky. Impossible de ne pas se lever et de ne pas chanter, voire hurler pour certains (« soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien »).

Il y aurait de quoi écrire quatre pages sur le concert, mais pour résumer, j’étais venu voir Détroit, j’ai eu Noir Désir en cadeau bonus et c’était GRAND.

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